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Courez vous avec des gênes musculaires ? par (invité) (2001:861:3143:4eb0:e9be:2105:94b7:xx) le 05/01/24 à 14:14:41
En ce moment, je suis sur une prépa marathon, donc j'envoie pas mal de volume ...
Je sens dans l'un de mes mollets une gêne. Vraiment pas très intense, disons douleur 2/10 et qui ne s'amplifie pas au cours de la séance.
D'ailleurs j'ai l'impression que je la ressens plus lorsque je suis en footing cool que quand j'accélère ...
D'où ma (mes) questions ... Quand vous courez beaucoup, courez vous souvent avec des gênes (point musculaire, gêne tendineux et/ou articulaire) ?
Dans ce cas, que faites vous pour que ça ne dégénère pas (massage ? Electro ? Bain glacé ? Pause ? ...)
par FABAR (invité) (92.103.164.xxx) le 05/01/24 à 14:38:19
Il y a trois options :
- Soit la douleur empire et alléger l'entrainement est l'option qui s'impose.
- Soit la douleur part d'elle-même au bout d'un moment
- Soit la douleur reste et il faut prier pour qu'elle parte complètement avant la course (peut-être durant la période d'affûtage).
par (invité) (2a01:e0a:439:530:a514:6d41:fb:xx) le 05/01/24 à 15:44:02
Je cours depuis 6 mois avec un syndrome rotulien. J'ai un contrôle strict sur le kilométrage & l'intensité en fonction de la douleur et pour l'instant je sens que ça va dans la bonne direction.
En gros :
- Douleurs entre 1 & 2 : j'augmente un tout petit peu la charge.
- Douleurs entre 3 & 6 : je touche à rien.
- Douleurs > 7 (pendant ou après la séance) : diminution du volume et focus sur la récup pour que ça redescende.
La clé est de bien faire du renfo à côté et pas faire de changements brusque sur 2-3 semaines.
par (invité) (2a01:e0a:439:530:a514:6d41:fb:xx) le 05/01/24 à 15:47:24
Donc en résumé c'est vraiment renfo+contrôle strict de la charge qui marchent de mon côté (et j'ai à peu près tout essayé dans le reste...).
À noter qu'il est contre productif de totalement s'arrêter (c'est aussi l'avis de mon kiné). Il vaut mieux stagner 2-3 semaines en zone 1-2 de douleurs et voir comment ça évolue.
par (invité) (147.161.152.xxx) le 05/01/24 à 17:26:01
en phase avec le dernier commentaire ;
j'ajoute que les étirements dynamiques sans aller à la limite m'ont permis de diminuer le genre de gène que tu évoques, mais c'était sur l'ischio, pas sur le mollet
par (invité) (2001:861:3143:4eb0:e9be:2105:94b7:xx) le 05/01/24 à 22:10:08
OK, merci pour vos retours.
Et du rouleau, vous en faites aussi ?
par (invité) (62.199.161.xxx) le 05/01/24 à 22:32:46
Tant que la douleur est inférieure à 3/10 durant la seance et le lendemain, je continue à courir à la même fréquence mais sans intensité.
par Doctor L (invité) (2a02:8428:506:2e01:753c:4d4f:5166:xx) le 06/01/24 à 22:49:30
Bonsoir,
Je pense à une angine de poitrine couplée à un hallux valgux anal.
Sportivement
par (invité) (2a01:cb04:737:f200:815b:13af:ef3d:xx) le 09/01/24 à 19:04:09
J'aimerai une consultation pour mon valgux anal
Une praticienne à me recommander ?
par (invité) (194.153.110.xxx) le 10/01/24 à 17:46:55
Fias comme d'habitude, tripote toi devant une vidéo salasse et arrête de nous gonfler.
Sinon, pour ce qui est des problème musculaires, je traite aussi par le mépris. Si j'avais du stopper à chaque fois que j'ai mal quelque part, ça fait 40 ans que je n'aurais pas couru.
Je fais à peu près pareil que le message du dessus, je juge en fonction de l'intensité, de la pérennité et du fait que ça cesse ou non après la course. La plupart du temps, ces "gènes" disparaissent après l'échauffement. Si elles persistent tout au long de la séance, je lève le pied et je prends un doliprane en rentrant. En 4 décennies de course à pied, toutes ces fichues douleurs ont fini par disparaitre comme elles étaient venues.
par Mimic (invité) (2a02:8428:506:2e01:c5d5:32a3:e14a:xx) le 10/01/24 à 18:24:40
Sinon, on peut soupçonner un dérèglement de la thyroïde couplé à des palpitations anales sédentaires.
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