Arrêt de la course à pieds et déprime

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Arrêt de la course à pieds et déprime par Flashgordon (invité) (83.112.219.xxx) le 05/10/05 à 23:56:57

Bonjour,

Je me suis mis à la cap depuis 3 mois, et donc je cours à raison de 3 fois par semaine, des sorties d'une demi heure et dès que je peux 1 heure.
En fait comme vous le conseillez ici aux débutant, j'essaie avant tout de me faire plaisir, et ensuite de repousser doucement mes limites, comme je le sens. Gràce à cette méthode j'ai très rapidement progressé et maintenant j'y trouve vraiment une grande satisfaction.

Par contre, la semaine dernière je n'ai pas couru, et là ce fut vraiment la déprime, c'est même assez surprenant.

J'ai entendu parler d'une enquête américaine qui prouverait que les coureurs sont fragilisés dès qu'ils arrêtent la CAP, et susceptibles d'attraper plus facilement certains virus que des individus sédentaires.

Qu'en pensez vous ? Avez vous des infos sur ce phénomène ?Comment réagissez vous quand, pour une raison X ou Y, vous ne pouvez pas courrir pendant une semaine ou plus ?
Merci.

Arrêt de la course à pieds et déprime par Lundi (invité) (83.76.116.xxx) le 06/10/05 à 09:04:21

Salut,

Lorsque j'arrête de courir, je déprime. Par contre, il m'arrive de déprimer même si je cours... Mais effectivement je suis persuadée après avoir lu divers articles et écouter beaucoup de sportifs que l'on devient dépendant du sport mais quant à moi j'essaie de ne pas vivre pour le sport mais que le sport m'aide à vivre mieux et je préfère dépendre du sport que de l'alcool, de la cigarette, ou autres ...
Je pense que tu apprendras à gérer tout cela en tout cas bonne route

Arrêt de la course à pieds et déprime par titoune (invité) (82.234.237.xxx) le 06/10/05 à 09:42:52

En fait pour expliquer cela il faut shematiser, en faisant du sport ton corps va mieux se sentir, une certaine joie/bien être va t'envahir au fil du temps et du plaisir que tu vas prendre dans cette activité, je conçois qu'au début c difficile car ton corps n'est pas habitué, quand tu cours ton cerveau secrete de l'endorphine qui te rends euphorique et bien dans ta peau, ton corps va se muscler et ton coeur se renforçer, tu seras plus solide face aux virus, une certaine protection en qq sorte, le sport ne peut faire que du bien à ton organisme, certes il peut etre traumatisant mais d'un point de vue cardio-vasculaire c l'ideal pour repousser et eviter ce genre de rpobleme, apres le fait d'etre deprimé quand tu arretes il faut comprendre qu'en faisant du sport tu as changé ta maniere de vivre de sedentaire, ton cerveau a trouvé un moyen de bien être et c comme une drogue il en redemande toujours, quand je m'arrete pour x raisons j'essaie de profiter pleinement de ma vie familiale et cela m'aide bcp..., il faut trouver une autre occupation qui comblera ce manque, ce peut etre ton environnement familial, tes amis proches, un club...etc....mais il faut garder a l'esprit que faire du sport c entrenir la vigueur de son corps et surtout cela aide a conserver celle de son esprit... il faut etre heureux même si tu as arrêté de courir pour une periode non definie...il faut positiver et penser au bien être que tu vas retrouver quand tu recommenceras..... amicalement.

Arrêt de la course à pieds et déprime par cliloute (membre) (82.228.201.xxx) le 06/10/05 à 09:49:17

Bonjour,
l'an dernier, j'ai arreté de courir tout l'hiver, pour plusieurs raisons, blessure, manque de motivation, manque de temps,... et en effet, je ressentais un certain malaise. Je n'irais pas jusqu'à dire de la déprime, mais je me sentais molle, inactive, je m'en voulais de ne plus faire de sport, et puis, je ne ressentais plus ce bien-être physique et mental que j'aime tant savourer après avoir couru. Et puis je pense que c'est important de se vider, de se défouler en allant faire du sport pour mieux gérer les soucis quotidiens.

Claire

Arrêt de la course à pieds et déprime par Henri (invité) (81.242.145.xxx) le 06/10/05 à 10:14:39

Bonjour,

Je ne suis donc pas le seul. Il y a un an et demi, j'ai pu réaliser mon vieux rêve, courir plus de 650 M sans devoir m'arrêter.

Petit à petit, j'ai rallongé, 651,652,726,...J'ai commencé par une sortie par semaine, puis deux, maintenant j'en suis à trois sorties par semaine.

Très souvent après ma sortie, j'ai le moral au beau fixe. Une pêche d'enfer. Parfois, mais c'est plus rare, je suis simplement bien.
Par contre, il m'arrive de sauter une sortie,...je reste 3-4 jours sans courir, (une heure de vélo ne fait malheureusement pas le même effet). Tout d'un coup, à un moment imprévisible, c'est un peu comme une digue qui lâche, quelque chose qui me paraîtrait anodin après CAP, me fait dégringoler. Moral au ras des pâquerettes jusqu'a que je retourne courir.

J'ai beau le savoir, c'est pas évident à gérer.
Ce qui me rassure pas, c'est qu'il me semble que lorsque je m'en tenais à une, voire deux sorties régulières par semaine, je n'avais pas ce problème.

A présent, j'aurais tendance à encore augmenter le volume de CAP, à la recherche des mega-doses d'endorphines.
C'est grave, docteur ?

La CAP, sûr que c'est mon Prozac à moi. (Bien que fan des "idées noires" de Franquin, ce n'était vraiment pas mon état d'esprit habituel, avant de commencer la CAP)

Arrêt de la course à pieds et déprime par mimi (invité) (193.248.68.xxx) le 06/10/05 à 11:06:34

Bonjour à tous et toutes

Ce que je peux confirmer sur le fait de faire de la CAP est le bon maintien du moral, dont on a souvent besoin.

J'ai réalisé d'ailleurs pour une 1ère le Paris-Versailles ce qui m'a extremement satisfaite, surtout lorsque l'on est inactive professionnellement.

C'est un exhutoire à nos soucis quotidiens et on peut, je peux le comprendre, ressentir un certain malaise si l'on ne court pas pdt une période définie.

Sportivement
Mimi

Arrêt de la course à pieds et déprime par Guil93 (membre) (80.170.136.xxx) le 06/10/05 à 11:08:03

Moi c'est surtout le fait de courir seul qui fait que quelque fois je n'ai pas envie ...

Arrêt de la course à pieds et déprime par mimi (invité) (193.248.68.xxx) le 06/10/05 à 11:21:11

message à guil93

tu sais je cours depuis + de 2 ans seule et je trouve cela très agréable. il est vrai que je suis assez indépendante ; mais par contre j'aurai bien aimé être accompagnée pour le Paris-Versailles (uniquement pour partager les bons moments qud tu as fini de bien suer)

Arrêt de la course à pieds et déprime par Guil93 (membre) (80.170.136.xxx) le 06/10/05 à 11:30:56

J'ai lu ton message plusieurs fois histoire de bien comprendre le sens :-)
Moi aussi je suis plutot du genre indépendant mais des fois j'ai vraiment pas envie de sortir. Je pense que si il y avait une ou plusieurs personnes pour me pousser je me bougerai. C'est encore pire avec le temps qu'il fait !
C'est pour ça que je veux me rapprocher du bois de vincennes pour rejoindre les vincennus !

Arrêt de la course à pieds et déprime par jerome (invité) (84.4.186.xxx) le 06/10/05 à 11:42:05

t'intieques pas flachgordon, t'es pas le seul a pas etre bien quand tu peut pas couurrir en particulier et pas faire de sport en général. Il y a trois semaines que j'ai du arreter de courrir a cause d'une périostite. Je me suis dit que j'allais en profiter pour couper avec le sport pendant trois semaines pour me soigner et pour recharger les batteries car j'ai enchainer a la suite une saison cycliste (7000 bornes de janvier a juillet )et ensuite de la cap a raison de quatre sorties par semaine.Au bout de 10 jours, je te racontes pas comme j'étais malheureux, moi qui suis toxicomane ... du sport.

Arrêt de la course à pieds et déprime par mariedelyon (membre) (86.193.172.xxx) le 06/10/05 à 12:25:21

Bon, je vous ai tous lus avec plaisir et attention.
Moralité :
- Essayons de ne pas nous blesser, donc de ménager notre corps, pour ne pas faire de pauses en cap.
- Trouvons des compagnons( gnonnes !) d 'entrainement et de course, car, même si on savoure ponctuellement des sorties en solo (liberté, liberté chérie!!), qu'il doit être agréable de partager ces moments avec d' autres.
Je suis très solitaire aussi, mais je me soigne...

Et, ne trouvez- vous pas que le mot "déprime " est un peu fort ? C' est plus proche du petit coup de blues, non ?
J ' ai eu la chance de ne jamais avoir fait une longue pause , pour cause de blessures ou autres, donc, je connais mal ce sentiment.
Mais, ça m 'inquiète quand je lis "déprime". Si c' est vraiment ça, je retourne faire un petit tour, de suite !

Allez, on garde le moral !
Marie

Arrêt de la course à pieds et déprime par Manu75 (membre) (217.109.194.xxx) le 06/10/05 à 12:52:51

Je trouve aussi que le mot déprime est un peu fort. Si réellement c'est ça, à mon avis, ça ne peut pas être imputable uniquement au manque de sport. Marie, je te rassure, tu ne vas pas être obligée de consulter un psy si tu t'arrêtes de courir :-)
J'adore courir seul à l'entrainement, ça me permet de déconnecter de beaucoup de choses et c'est aussi pour ça que ça me fait du bien. Par contre, en course, c'est très différent, c'est vraiment appréciable d'être avec quelqu'un de préférence qui a le même niveau que soi aussi bien avant, pendant que après la course.

Arrêt de la course à pieds et déprime par shepfriend (membre) (194.206.6.xxx) le 06/10/05 à 13:02:16

Flashgordon,

Il paraît aussi que les endorphines produites par la CAP créent un besoin chez le coureur, et donc un manque, cause de déprime, s'il ne court pas pendant une certaine période. J'ai rencontré ça à chaque fois que je dépassais 4-5 jours sans courir (impression de délabrement, ou alors humeur excédée, "sur les nerfs"). C'est un peu une drogue, mais naturelle alors autant en abuser !

Tu n'as peut-être pas couru par manque d'envie. Dans ce cas, tu as raison de ne pas courir. Le plaisir avant tout.

Mais, c'est parfois difficile de savoir si on a envie ou pas de courir. Qui n'a jamais hésité à enfiler ses runnings, le soir après le boulot, journée de transport difficile, temps maussade, difficile de se bouger.

Pourtant, à chaque fois l'effort est récompensé au centuple.
La CAP est une drogue, oui, mais qui se mérite !

Des petits trucs bien connus pour courir plaisir : varier les parcours, les terrains, les chaussures, les horaires, les distances, avec ou sans musique, avec des partenaires de course (même à une plus faible allure), en stade, avec son chien, pour essayer son nouveau cardio, ses nouvelles fringues, etc.

Arrêt de la course à pieds et déprime par mimi (invité) (193.248.182.xxx) le 06/10/05 à 13:56:24

message à guil93

je viens de lire ton commentaire. A priori mon message était ambigu pour que tu t'y arrêtes 3 fois ! sourire

Pour ton manque de motivation à courir, je pense que justement c'est en cette période qu'il faut chausser tes baskets, même seul.
Il y a un certain maintenant, mais je m'étais dit à cette époque : si je cours par temps de neige et verglas : je serai prête pour courir sur une durée illimitée !! et la motivation sera installée pour tjs, à priori.

allez courage et c pas utile d'attendre les vincennus pour avoir du tonus !

Arrêt de la course à pieds et déprime par Guil93 (membre) (80.170.136.xxx) le 06/10/05 à 14:00:49

Et bien on va voir ça. Je dois aller courir sur les bords de marne dans l'après midi. L'année dernière j'ai courru jusqu'à fin février tous seul (et il a pas fais chaud). Ensuite niet, fini, jusqu'en juin ! Je suis très irrégulier comme le montre mes résultats.

Arrêt de la course à pieds et déprime par mimi (invité) (193.248.182.xxx) le 06/10/05 à 14:12:12

@ guil93

l'essentiel même en courant irrégulièrement est le plaisir que tu en dégages , alors bon courage pour cet après midi et peut être qu'au hasard de tes courses irrégulières tu trouveras d'autres passionnés comme toi, qui aimeraient trouver l'énergie de l'autre !! sourire

Arrêt de la course à pieds et déprime par marino (invité) (193.48.163.xxx) le 06/10/05 à 15:54:56

Dès que je ne cours pas pour cause de tendinite, périostite, entorse (actuellement), ou bronchite, je déprime dur. Je ne supporte pas l'attente, et d'être en retrait par rapport aux autres du club. C'est "PSY"
Marino

Arrêt de la course à pieds et déprime par christofe (invité) (84.99.51.xxx) le 06/10/05 à 19:58:45

SALUT , ET BIEN MOI JE SUIS DANS UN MANKE LE PLUS TOTALE .
Je cours 6 fois par semaine et apres avoir loupé tous le debut de cette année du a une tendinitte qui m 'a tenu juska mai , j ai pu retrouvé mon meilleur niveau et la poisse c est de nouveau abbattu sur moi au mois de septembre avec une fracture du petit orteil au boulot .
Maintenant j en suis a 4 semaine d'arret et si la premiere fois j ai pu remonter la pente , cette fois j'ai un doute .......
Car c 'est vrai ke c est tres dur de tout arreter comme ca
et cette fracture je me pose la kestion juskakan m empchera t elle de courir ?

Arrêt de la course à pieds et déprime par mariedelyon (membre) (86.193.172.xxx) le 06/10/05 à 20:25:45

Ouh la la quel moral Christophe !
En attendant que ta fracture se consolide, essaie de compenser par un autre sport.
Dans le cadre de ton travail, portes-tu des chaussures de sécurité , blindées contre les chocs ?
Si un objet lourd t' est tombé sur le pied, cela pourrait se reproduire...
je te souhaite bon courage et de la patience!
Marie

Arrêt de la course à pieds et déprime par titoune (invité) (82.234.237.xxx) le 06/10/05 à 20:52:04

bonsoir, petite histoire pour remonter le moral, voici mon histoire, jusqu'en 1997 je courais comme un lapin, une superbe caisse, un bon niveau de perf 1h19 au semi, 33'14 au 10000, des courses nationales en ski de fond, une qualif pour les championnat d'europe de fond, bcp de courses en montagne, que du bonheur jusqu'au jour où tout a basculé,les deux genoux HS, arrêt de la course à pied pour un long et tres long moment, 8 années de bobos en tout genre, des accidents bêtes....le moral à - 1000...plus de course pendant 8 ans c dur à avaler, et encore je dis 8 ans car le medecin m'avait conseillé de ne plus du tout en faire....j'ai fais comme toi, je me suis remis à courir un peu, une nouvelle blessure est venue entraver mon chemin, moral à -20000, je me suis mis donc au vert, vois tu, je viens de reprendre il y a deux mois, tres dur de reprendre qd tu as des souvenirs ds la tête de courses où tu galopais, je me suis trouvé qq amis dans le même cas et nous avons commençais l'entrainement,certes c difficile mais en deux mois j'ai repris la forme, il reste du chemin pour revenir mais qd je pense a mes amis qui galerent aussi mon moral va au mieux, le tout c de s'entourer d'amis pour la reprise c toujours plus facile que de reprendre seul...bon courage.

Arrêt de la course à pieds et déprime par christofe (invité) (84.99.51.xxx) le 06/10/05 à 20:52:30

Non , je ne peux porter des chossure de securité car je suis éducateur sportif , mais c'est vr&i ke la le moral ..
j'arrive à réaliser de bonne perf , genre 33 minutes sur un 10 kms donc pour retrouver tout cela !!!
pour compenser par un autre sport , c'est assez du car meme le velo d'appartement ke j'ai essayé la semaine derniere , je me suis retrouvé avec un orteil multiplié par 2 .
Vraiment la poisse !!!En plus je suis chez moienfermé lol je suis comme un lion en cage !!!
ah la course a pied !!!!

Arrêt de la course à pieds et déprime par La Pluche (membre) (83.156.225.xxx) le 06/10/05 à 22:25:31

Tiens je vais y aller aussi de mon petit témoignage.

J'ai terminé l'année 2004 avec plus de 3300 km au compteur et ai abordé 2005 avec de grands et beaux objectifs (Belvès, Roche la Molière, Défi du Val de Travers, ...). Oui, mais la mécanique n'était pas du même avis.

Quelques problèmes tendineux m'ont fait renoncé à Belvès et je me suis contenté des 6h du Petit Ney.
Oui mais au cours de la course, une douleur s'est réveillée et plutôt que de baisser pavillon, j'ai continué jusqu'au bout. Résultat, grosse tendinite d'insertion et ... plus de 4 mois d'arrêt complet.

Ce sont les 3 premières semaines les plus difficiles, car il faut accepter la blessure. Parler de déprime est un peu fort, pour ma part il se crée plutôt un manque que j'essaie de combler en me consacrant à des occupations que je négligeais jusqu'alors (sorties ciné, contacts plus réguliers avec les amis, restos,...), en évitant autant que possible de me venger sur le chocolat (combat souvent perdu je dois l'admettre;-)).

Puis on s'habitue, malheureusement, à cet état de sédentaire et l'organisme se rebelle un peu : plus grande nervosité, plus stressé, tension occulaire dans mon cas ... il est alors temps de reprendre, et la motivation est grande, bien plus forte qu'avant la blessure. en plus le corps s'est reposé, les accus sont rechargés à ras bord, donc on est sur de bonnes bases.

La reprise est laborieuse, mais il faut prendre son temps, ne pas brûler les étapes, même si on se sent un mental de junior.

Je terminerai en ajoutant que pendant cette période où j'ai peut être été plus attentif aux autres, j'ai ... rencontré ma petite amie et je suis maintenant sur un petit nuage. Alors rien que pour ça ... ça valait le coup de me blesser.

La P'luche (et Flo si tu me lis, smack)

Arrêt de la course à pieds et déprime par source (invité) (83.228.150.xxx) le 06/10/05 à 22:36:15

Bonjour à vous tous !
Je suis très content de voir ce message, parce que je suis très ennuyé, et pensais être pas très normal. Mais, ca fait maintenant presque 7 ans que je court tous les jours, 6 à 8 km (entre 25 et 30 min.) et puis, ensuite, je ne me déplace qu'à vtt. Et je ne PEUX pas m'arrêter. Dès que je cours pas le matin pour tenter d'essayer, ça manque pas, le soir quand je rentre, je craque et je vais courir. Je suis parti à l'étranger, ça allait pas du tout les deux premiers jours (déprime, maux de tête violent), et...je suis allé courir les jours suivants le long d'une grande route à 5h le matin ! Et tout est redevenu normal.
Je ne me plains pas, c'est toujours cette décharge d'adrénaline qui intervient 30-35 min. après avoir arrêté qui me manque, mais peut-être il y a des moyens d'arrêter ? (je n'arrive pas à m'imaginer et je n'y arrive pas, d'ailleurs, ne courir que 3-4 fois par semaines, par exemple)


Arrêt de la course à pieds et déprime par toto (membre) (82.237.209.xxx) le 06/10/05 à 23:40:23

J'aimerais être pareil que toi Source mais le corps (et surtout le mien) à besoin de repos sinon c'est le mur.
Courir tout les jours, c'est dur à gérer.

toto

Arrêt de la course à pieds et déprime par source (invité) (128.178.12.xxx) le 07/10/05 à 13:04:03

Bonjour Toto,
En fait, c'est pas très dur à gérer, je cours souvent très tôt (6-7h voire même entre 5 et 6) donc c'est pas une question de temps. Par contre, ne m'envie pas, c'est une vraie dépendance dont j'aimerai bien me débarrasser ! C'est surtout les maux de têtes qui sont pénibles en fait.
Pour l'usure, je ne suis pas inquiet, dès qu'on est à moins de 65kg le risque est diminué.

Arrêt de la course à pieds et déprime par Marino (invité) (193.48.163.xxx) le 07/10/05 à 17:51:49

Pas de cloppes, pas de CAP avec entorse
Je me meurs
marino

Arrêt de la course à pieds et déprime par christofe (invité) (84.99.95.xxx) le 07/10/05 à 18:37:07

salut , le faite de peser moins de 65 kilos ne garantie pas le faite de ne pas avoir de blessure .Je fais 55 kilos et cela n m'empechera pas d'avoir une blessure .
JE Cours tous les jours sauf le mercredi car la recuperation fait partie de l'entrainement

Arrêt de la course à pieds et déprime par source (invité) (83.228.176.xxx) le 07/10/05 à 20:14:52

Non, je suis d'accord, ça empêche pas les blessures, mais j'ai ma petite "théorie" à ce sujet. Je crois que plus on est lourd, plus ça "tape" sur les genoux, surtout dans les descentes. Puis, il faut bien "sentir" son corps. Par exemple, quand j'ajoute à cette CAP de tous les jours, une petite heure de marche à pied, je sens que je vais avoir un petit épanchement au niveau du côté du genou (je connais rien aux articulation, ça m'intéresse pas, c'est juste d'expérience). Et là, je court doucement le lendemain et le surlendemain et ça finit par passer. Puis, je court sur les mêmes trajets, en me concentrant une dizaine de fois de suite très attentivement sur toutes mes prises, et en me laissant faire de mini-foulure. Je crois qu'avec ça j'ai "hyper entraîné" mes cheville et je me tord parfois très brutalement le pieds, mais le surlendemain, c'est quasi-fini (et je continue à courir...ça fait super mal le soir et au début de la course puis après ça disparaît). Si j'écoutais le kiné, je ne ferai plus de course pendant 3 semaines, n'importe quoi...! Peut-être un jour j'aurai super mal, je serai obligé de m'arrêter, mais peu importe. Vu tout ce que j'ai couru, le tout est pour moi de trouver un max de plaisir aujourd'hui et après, peu importe. Puis, connaître son corps, c'est apprendre à sentir la limite. J'avais un copain qui faisait 10km par jour, 80 kg, et il a dû subir une opération et c'est finit, maintenant pour lui. Moi je trouve ça absurde, il faut courir juste ce qu'il faut, et pas trop.
Enfin bon, chacun son trucs, moi je crois vraiment que nos corps réagissent différemment et qu'il y a pas de lois générale. Du sport et de la course j'en fait depuis que j'ai 11 ans, j'ai fait du basket et du hand, des 1500, des 4000 et des 10000 (c'était pour le bac à l'époque) et maintenant j'en ai 30, et je me suis jamais blessé au point de plus pouvoir en faire, alors...
Par contre, vraiment, si vous trouvez un truc pour pouvoir arrêter d'en faire sans déprime, là, je suis prenneur !

Arrêt de la course à pieds et déprime par christofe (invité) (84.99.95.xxx) le 07/10/05 à 20:16:38

tiens tu as le meme age ke moi .

Arrêt de la course à pieds et déprime par Guil93 (membre) (80.170.136.xxx) le 08/10/05 à 03:06:07

Et "Arret du sport et insomnie" ça vous parle ? Depuis que je suis revenu de vacances (ça fait 4semaines) dès qu'il y a une journée ou je ne fais pas de sport (vélo ou cap) et bien j'ai ENORMEMENT de mal à dormir. Exemple ce soir ... ou c'est pas gagné.

Arrêt de la course à pieds et déprime par (invité) (84.99.143.xxx) le 08/10/05 à 12:07:32

Exacte cela fait 4 semaines ke je ne peux courir , et 4 semaines d'insomnie ......
C'est vrai ke kn tu as fait ta journée de boulot plus l entrainement tu dors pêut etre plus facilement

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