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Allure spécifique : un non sens ! par Yolo (invité) (77.195.33.xxx) le 02/05/13 à 17:48:30
S'entrainer à une allure spécifique est un non sens parce que cette allure n'apprend pas à progresser mais fait stagner le coureur précisément à l'allure spécifique !
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (194.126.226.xxx) le 02/05/13 à 17:56:01
Sauf que l'allure spécifique est en théorie choisie dans une optique de progrès (un peu plus vite que le précédent record), à savoir qu'en début de prépa elle est difficile, pour devenir tenable le jour J.
Ce n'est pas quelque chose de figé, mais que l'on adapte au fur et à mesure que l'on progresse course après course. Toujours plus haut...
Non ?
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (79.82.16.xxx) le 02/05/13 à 18:33:47
L'allure spécifique apprend le corps à être le plus économique a cette allure. En vue d'une compet il est indispensable de la travailler pour tenir la distance à la vitesse voulue plus facilement. Bien sûr ça n'est qu'une partie de l'entrainement, toutes les sorties ne se font pas à cette allure ! Elle fait progresser pour la compet visée et pas forcément en vitesse pure. N'est ce pas plutot ton affirmation qui est un non sens ?
Allure spécifique : un non sens ! par Harry (invité) (92.90.26.xxx) le 02/05/13 à 19:45:25
Ca me rapelle un vieux post de D'´´´´´´´N:
"La VS : vitesse spécifique: c'est à dire l'allure que tu as choisie, ou celle que ton coach t'a donnée, ou enfin celle qui correspond à tes capacités.
Admettons: 3H30' au marathon = 5'/1000.
Dans ton entrainement tu auras:
2H dont 2 X 30' (VS). Ce qui implique que tu vas t'enfermer dans une logique d'allure tellement cadenassée par la répétition de ces allures que, si tu pars ne serait-ce que 5-10" plus vite au kilo, tu es sur d'avoir une très grosse surprise vers le 28-30ème. Bien sur il y aura les séance de 2000 ou 3000 etc qui seront courues plus vite, mais regarde bien, sur un cycle complet, ce que représente ces distances en rapport avec toutes celles en VS. Le déséquilibre est important. Trop de VS tue la capacité.
De même, on est enfermé aussi (par orgueil ou autre stratagème psycho) sur une allure de footing. Toujours même exemple: 10-11 km/h en base pour 12 km/h sur marathon.
Ben moi, je dis non.
Des footings à 9 km/h avec mon groupe, je le fais alors que mon allure de base est environ 12,5-13 km/h.
De même, la VS, je ne la fait que sur 2-3 séances, à la fin du cycle, pour m'accomoder de l'allure cible. Pour le reste, quand je fais 2H ou moins, ou plus et que j'y inclus des variations d'allure, c'est toujours légèrement au dessus de cette allure cible.
Pour l'exemple 3H30', au lieu de faire 2 X 30' à 5'/1000, ça serait 4'45"-4'50". Dans 1 cas, je fais 6 kms, dans l'autre 6,3. C'est peu, mais si tu multiplies par le nombre de sortie c'est une réserve que tu te créées, dont tu auras bien besoin le jour de la course.
Conclusion:
Ne pas hésiter à prendre des allures faibles, souvent.
Ne pas hésiter à aller audelà de la VS.
Plutôt que de faire 2H avec 2 X 30' de VS, faire 2H dont 30' VS-10" + 20' VS-15" + 10'allure 10km."
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (83.201.10.xxx) le 03/05/13 à 01:16:05
Une course se passant rarement à allure linéaire il est bon de reproduire ces conditions à l'entrainement, ex premiers km prudents moins vite que AS, puis AS, accélération dans la 2e moitié de course, donc vous pouvez faire vos 3x2000 de 5"/km moins vite que AS pour la première rép pour aller vers AS à la 2e et finir la 3e rep 5"/km plus vite. Ce qui n'empêche qu'il faut tout de même bien déterminer une vitesse moyenne cible pour tourner autour.
Allure spécifique : un non sens ! par thedom (membre) (85.168.245.xxx) le 03/05/13 à 04:39:19
Yolo, tu oublies également que le but est de tenir cette AS... sur l'ensemble de la course, et non plus sur plusieurs dizaines de minutes comme lors de l'entraînement.
Ton post n'est il pas "un peu" provoc salopiot ? ;-)
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (194.199.172.xxx) le 03/05/13 à 09:51:20
marrant, moi je fais beaucoup d'allure spécifique et ça m'a toujours bien servi. Le jour de la course je connais mon allure, j'y suis à l'aise, et si elle est bien choisie, course après course j'améliore cette allure... Bilan 30' gagnées sur marathon, doucement mais surement !
Allure spécifique : un non sens ! par Sadok (invité) (109.218.32.xxx) le 03/05/13 à 09:56:06
« « « S'entraîner à une allure spécifique est un non sens parce que cette allure n'apprend pas à progresser mais fait stagner le coureur précisément à l'allure spécifique ! » » »
Pour trouver un peu de logique dans ton affirmation on pourrait dire à la rigueur que « s’entraîner toujours à la même allure fait stagner ».
Quel que soit l’objectif visé il faut donc avoir un entraînement varié.
Perso, je m’entraîne à la FC et au cardio, ce qui permet de bien connaître et d’étalonner l’allure et la FC cible (AS10, AS21, AS42, etc.).
Comme chacun sait, l’allure spécifique ne doit représenter qu’une partie de l’entraînement. Les fondations sur lesquelles doit reposer l’entraînement sont constituées d’endurance fondamentale.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (217.111.195.xxx) le 03/05/13 à 09:57:08
"Bilan 30' gagnées sur marathon, doucement mais surement !"
Ça veut juste dire que tu as couru ton premier marathon avec une expérience insuffisante ou que tu as connu le mur.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (194.199.172.xxx) le 03/05/13 à 10:05:25
ça c'est une conclusion basée sur du concret !!
Je pense que travailler l'allure marathon m'a réellement fait gagner en économie de course, je n'ai quasiment plus besoin de ravito et mes puls sont vraiment basses.
En 3-4 ans, j'ai à la fois gagné en niveau global (de la VMA jusqu'au marathon) mais aussi et surtout gagné en endurance/resistance, ce qui est (selon moi) largement du à ce travail à l'allure visée. D'ailleurs ça donne aussi un avantage psychologique énorme de savoir que l'on peut sans effort tenir 3*25' à allure marathon. Alors que savoir que je peux tenir 3*25' à allure marathon-10" (soit presqque de l'allure semi) en galérant sévèrement ne m'apporte pas cette confiance.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (217.111.195.xxx) le 03/05/13 à 11:31:13
C'est juste que ça ne veut rien dire "30' de gagnées = grâce à AS"
Mon pote qui a couru son 1er marathon à 43 ans en 2h58'40" et son dernier à 51 ans en 2h39'16", n'a gagné "que" 19' sans AS42.
Pour en revenir au sujet du post, je pense qu'il faut travailler toutes les allures (+2/-2 km/h) entourant la vitesse visée le jour J.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (195.25.92.xxx) le 03/05/13 à 14:12:51
Plus on est loin de l'objectif et plus on travaille loin de l'allure objectif, plus on s'enn approche plus on l'encadre. Ca vaut pour n'importe quelle distance de compétition.
Par exemple pour moi qui suit un coureur de 10 km, je commence par de l'endurance active, grosso mdo de l'allure marathon, après la coupure annuelle en juillet.
Si j'étais marathonien, je commencerai par des cotes et de la VMA à l'automne et j'enchainerai avec la saison de cross, avant d'aborder la prépa mrathon.
Allure spécifique : un non sens ! par @@@tchoum (invité) (62.244.85.xxx) le 03/05/13 à 14:24:39
vous prenez pas le chou va,
a notre petit niveau d'amateur (y'a t'il des cracs sur ce post ? ) , l'essentiel est de courir, régulièrement, et de façon variée, d'éviter la blessure, se faire un peu violence en récupérant bien.......et ca suffira a 80-90% des coureurs lambda pour progresser...
je me suis fais chier des années a faire du frac, de l'AS , des 1000, des "tous ce que vous voulez", je me mets au trail exclusif, et particulièrement à l'entrainement "ultra", ce qui est quand même éloigné des entrainements route, et je fais exactement les mêmes chronos qu'en bouffant de la piste.
Allure spécifique : un non sens ! par FrancoisT (membre) (88.174.63.xxx) le 03/05/13 à 14:32:22
"Bilan 30' gagnées sur marathon, doucement mais surement !"
Admettons, mais si on prend mon exemple, je gagne 28 minutes en quelque entre le premier et le second. Le dernier plan suivi, 0 allure spécifique, c'est du travail à plusieurs allures, souvent avec du progressif. Donc c'est bien aussi un exemple concret, et on avance pas d'un iota dans le débat.
Sortir des exemples, ça ne prouve jamais rien. Il faudrait des moyennes sur des échantillons très larges. En plus, certains coureurs auront besoin de l'AS pour se rassurer mentalement je pense. Et là, tout la théorie ne vaut plus grand chose. Il y a tellement d'aspect mental dans le marathon qu'il est difficile de se baser seulement sur la partie physique.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (194.199.172.xxx) le 03/05/13 à 15:49:15
oui, j'ai oublié de préciser un point...
J'avais déjà gagné 40' entre mon premier marathon et celui de référence : 3h55 -> 3h17. Ensuite j'ai gagné de nouveau 30' sans changer de volume (~70km hebdo), mais juste en affinant mon entrainement avec foncier 2 mois puis prise de vitesse / resistance 1 mois puis spécifique 6 semaines.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (194.199.172.xxx) le 03/05/13 à 15:50:42
maintenant je ne dis pas que c'est la solution, je dis que c'est ma solution. Si elle peut être utile aux autres tant mieux, sinon tant pis, on ne convaincra jamais personne sur un forum, au mieux on tente de sensibiliser...
Allure spécifique : un non sens ! par cedric (invité) (193.57.204.xxx) le 03/05/13 à 16:04:16
je ne comprends pas tout un marathon c'est l'allure cible à tenir pendnat 42km comme un metronome , je ne comprends pas ceux qui disent commence moins vite que l'allure pour finir plus vite .
Je ne comprends pas trop les 3*2000 AS42 ; vu que tu dois faire des blocs de 20' à 30' dans tes sorties longues , tes 3*2000 se feront (pour moi) plutôt au seuil ou seuil+.
j'ai fait 4 marathons , le 1er en 3h30 comme un metronome ; le 3e en 3h15 comme un metronome aussi (2e>> 3h16 et 4e 3h32 à cause du mur)
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (83.201.142.xxx) le 03/05/13 à 16:23:51
cedric (invité) (193.57.204.xxx) le 03/05/13 à 16:04:16
"je ne comprends pas ceux qui disent commence moins vite que l'allure pour finir plus vite ."
ben oui, on appelle ça faire un "negative split" et ça marche ! (quand on est capable de bien maîtriser la chose)
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (62.244.85.xxx) le 03/05/13 à 16:28:02
oui, enfin , un bon negative split, c'est pour les spécialistes et ca se joue à moins d'une minute de différence.
au dela, c'est une mauvaise gestion de course ;)
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (92.150.248.xxx) le 03/05/13 à 19:16:37
un negative split peut se réussir parfaitement bien jusqu'à 30" d'écart sur un 10km, 1' sur un semi-marathon, 2' d'écart sur marathon.
Allure spécifique : un non sens ! par Sam (invité) (109.190.52.xxx) le 03/05/13 à 20:47:51
Avec tout ça, est-ce que vous trouvez le plaisir de courir ?
J'ai l'impression que vos commentaires sont trop technique.
FC, VS, 5*1000, etc.
J'imagine, qu'à l'époque les 1er marathoniens et Abebe Bikila, entre autres, ne se prenaient pas la tête avec tout ce jargon. Et encore moins avec toutes ces technologies/marketing qui tournent autour du .
Déjà, les GPS et cardiofréquencemètre n’existe pas. Je me demande même si ils avaient des plans d'entrainement.
D'ailleurs, à par courir régulièrement, comment ces sportives fessaient-ils pour évoluer et progresser ?
Allure spécifique : un non sens ! par mowgli (invité) (82.232.107.xxx) le 03/05/13 à 21:02:36
il courait au sensation un peu comme une marathonienne française ...
son intervieuw
Vous faisiez du sport, auparavant ?
Oui, je ne suis pas sortie de mon canapé comme ça ! J’ai fait du tennis, du rock, de la randonné ou du ski. Mon père était sportif, je n’avais pas le choix ! Et pendant dix ans, j’ai fait du vélo.
A quel niveau ?
En compétition, j’étais en équipe de France, et j’ai fait le Tour de France féminin où j’ai dû finir 20e (ndlr : elle a également remporté la Coupe de France sur route en 2002). Mais sur les épreuves longues, je marchais bien pendant trois jours, après je n’en pouvais plus, quand les autres filles continuaient à avancer… Et puis, je me suis cassé la tête du fémur lors d’une chute en 2002, et j’ai arrêté pour créer mon entreprise. La course à pied me prenait moins de temps que le cyclisme. J’ai essayé le 10 km, le trail, la montagne, tout me plaisait. A part le cross, ça, ça ne me donne pas du tout envie. Mes chevilles me semblent trop fragiles pour ça, et je n’ai pas envie d’aller me mettre dans le froid en hiver.
Mais à quel moment avez-vous pris conscience que vous pouviez faire de bons résultats ?
C’est vrai que j’ai un parcours particulier… Jusqu’en 2009, avant ma grossesse (ndlr : elle a accouché d’une petite fille en janvier 2010), je ne me rendais compte de rien. On me parlait de 3’30 au km, je ne savais pas ce que ça voulait dire. Les chronos, les perfs, les gens sur les courses, je ne connaissais rien ni personne. Mais je me suis dit « Pourquoi ne pas essayer de progresser ? » D’autant que ma grossesse s’est très bien passée, que j’ai vite récupéré. Mais je suis un peu spéciale. J’ai fait le Mont Ventoux en vélo au 5e mois de grossesse, et une semaine avant d’accoucher je faisais une randonnée en raquettes de trois heures. Puis les années 2010, 2011 et 2012 se sont très bien passées.
Comment vous entraînez-vous, et dans quel cadre ?
C’est irrégulier, à cause de mon boulot, mais j’essaie de courir cinq fois par semaine. Cinq fois, c’est bien, ça me permet de prendre l’air. Je cours en nature, je n’aime pas le stade, et je pars à chaque fois pour 1h30 de footing.
Et au niveau des séances sur piste, des fractionnés ?
Oui, j’ai fait deux ou trois séances de 30’’-30’’ avant les France de marathon.
Mais des séances plus longues également, des répétitions de 1000 m par exemple ?
Non, non, pas de ça. Je ne prends pas de plaisir dans le fractionné. Je cours en montagne, je suis bien, je vais vite en footing, sauf si je suis fatiguée. Il y a quelque chose que vous appelez le fartlek, je crois ?
Euh, oui…
Eh bien quand je cours en montagne, je pense que ça correspond à ça. Mais je ne sais même pas à combien mon cœur bat. De toute façon, je cours sans montre.
Qu’en dit votre entraîneur ?
En fait, je n’en avais pas jusqu’à maintenant, mais j’ai justement demandé récemment à Jean-Louis Bal de m’entraîner pour faire la différence, progresser et atteindre les 2h35 au marathon.
Vous avez atteint ce niveau sur marathon (son record est de 2h37’19 en 2008 à Paris) sans suivre de programme d’entraînement ?
Non. Je n’ai jamais fait de levées de genoux ou de gainage. Je m’étire un peu, mais mon métier ne me laisse pas le temps de faire plus. Mais justement, j’espère qu’avec Jean-Louis Bal, je vais pouvoir progresser et atteindre les 2h35.
Vu ce que vous réalisez, vous n’avez pas de regret de ne pas avoir découvert la course à pied dix ou quinze ans plus tôt ?
Oh que si ! (elle insiste) Un gros « si » !! Je suis consciente que j’ai loupé une carrière, mais c’est comme ça. Tout le monde me disait que j’avais des capacités, mais j’ai fait des sports peu médiatisés, où tout le monde voulait vous entourer et s’occuper de vous dès que vous commenciez à avoir des résultats. Des gens qui veulent vous utiliser. J’en ai vite eu assez. Alors, quand j’ai commencé à courir, j’ai tout fait toute seule. Mais je voyais Jean-Louis Bal sur les courses, je voyais qu’il était écouté, apprécié… J’ai eu envie d’ouvrir mon chez-moi à quelqu’un en qui je pourrais avoir toute confiance, lui montrer mon entraînement, pour qu’il me dise ce qu’il en pense.
Et justement, quels vont être vos objectifs, désormais ?
Je vais courir le semi-marathon du Beaujolais, dont je suis la marraine, le 17 novembre. Mais juste comme ça, pour m’amuser, car toute ma famille le court. Puis une course en Suisse, l’Escalade, et sans doute une corrida en décembre. Puis je me reposerai pour préparer le marathon de Paris, où j’espère donc bien faire 2h35.
Vous imaginez participer un jour à des championnats d’Europe ou du monde de marathon ?
Oui, vraiment, j’aimerais beaucoup. Pour ça, heureusement que j’ai pris Jean-Louis Bal, car je ne sais pas du tout si les championnats d’Europe ont lieu tous les ans, par exemple, ni quand ont lieu les sélections pour ces compétitions. Je ne connais rien à tout ça, pas plus qu’à la piste ou à ce que fait Christophe Lemaître. Dans l’athlé, je suis un peu paumée… Mais porter le maillot de l’équipe de France, participer à des grandes courses comme ça, ça me motiverait.
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (83.200.19.xxx) le 03/05/13 à 21:07:43
v
Allure spécifique : un non sens ! par (invité) (86.193.86.xxx) le 03/05/13 à 21:18:35
avant les gps il y avait tout de même les simples montres chrono qui permettaient de vérifier et corriger son allure à chaque panneau de km, donc l'essentiel... et les simples montres ça existe depuis plus d'un siècle.
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