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"aller à l'échec" en course à pied par (invité) (88.120.78.xxx) le 25/08/14 à 20:30:05
Bonjour et merci de me lire. Je pratique la cap 1 à 2 fois par semaines (manque de temps).
Alors en tenant compte de ce temps de récupération supérieur, puis-je me permettre d'aller à l'échec comme font les pratiquants de sports de force qui s'entraînent peu fréquemment (justement eux l'évitent si ils s'entraînent souvent).
Donc puisque je ne peux pas m'entraîner aussi souvent que je voudrais, devrais-je "aller à l'échec". C'est à dire arrêter quand il est carrément impossible de continuer, ou dois-je tout de même éviter?
Je sais bien que la notion d'échec en cap est plus abstraite car c'est le coureur quand même qui décide de s'arrêter, alors qu'en force, ce n'est pas qu'on décide de sârrêter mais c'est l'influx nerveux qui n'est plus assez fort, on peut y mettre toute l'envie qu'on veut, la charge ne montera pas.
Donc une bonne scéance, c'est quand j'ai validé mes objectifs avec les temps de repos prévus et suis rentré, ce qui veut dire que j'ai progressé, ou dois-je continuer jusqu'à "l'échec" en changeant mon 10*30/30 en 12*30/30 ou 13*30/30, jusqu'à cet "échec"?
Donc qu'en pensez-vous sachant que j'ai "malheuresement" beaucoup de temps pour récupérer?
PS: j'ai 29 ans.
Merci
"aller à l'échec" en course à pied par Didier (invité) (93.6.245.xxx) le 25/08/14 à 20:33:27
Lorsque l'on a la possibilité de s'entrainer que deux fois par semaine on ne fait que des footings et surtout tranquille et les progrès arrivent, certes faibles mais il y a progression et surtout plaisir à courir sans se démâter.
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